Un séjour au Québec n’a pas la même saveur sans une blonde. Olivier Lesein en a trouvé une, très mignonne, et s’est empressé de sortir sa grosse caméra.
Il l’avait promis. Il n’a pas menti. En septembre dernier, Olivier Lesein nous avait confié son intention de s’envoler vers le Québec pour tourner une scène du Bangtour avec un petit canon local. La bombe en question se nomme Sarah. Sarah Wild. Et malgré son pseudo quelque peu sauvage, c’est une princesse du sexe. Mais ça, vous l’aviez déjà certainement deviné en observant son joli minois illuminé par un regard de salope criant famine.
Performances olympiques
Évidemment, pour en profiter pleinement, il faut savoir passer outre son accent de la Belle Province, histoire de ne pas imiter la réaction d’un fameux journaliste, dont nous tairons le nom, lorsque Lanny Barby lui demanda de buzzer sur un bouton dans l’ascenseur. Le jeu en vaut tout de même la chandelle, car Sarah Wild est de nature à en faire voir de toutes les couleurs à ses amants grâce à ses prouesses sexuelles. Ça tombe bien puisque c’est dans un haut lieu du sport montréalais, au Stade olympique si cher à Guy Drut, que la belle retrouve son étalon. Mais, dans la mesure où cette enceinte n’a plus vraiment l’habitude de voir de grandes performances depuis le départ des Expos, le duo a préféré opter pour un autre terrain de jeu, plus à l’abri des regards qui ne peuvent qu’être indiscrets avec une demoiselle à la poitrine fière (90C) et au postérieur si appétissant. D’ailleurs, la poupée blonde n’a pas voulu rester sur sa faim et a flairé l’opportunité de tâter du Frenchy en allumant gaiement le photographe. Soit ça, soit elle avait une furieuse envie de se faire sodomiser. Voire les deux…
Découvrez la scène complète de Sarah Wild
Sarah Wild.
Sarah Wild.
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